Omniprésents dans les villes et les secteurs d’activités tertiaires, les ascenseurs sont des consommateurs d’énergie jusqu’à récemment ignorés, et qui peuvent aujourd’hui se transformer en générateurs d’énergie.
Une technique remise sur le devant de la scène
Apparue au début des années 2000, la technique de régénération permet de récupérer dans un boîtier le trop-plein d’énergie lorsque l’ascenseur descend à plein (le poids entraînant le moteur), ou lorsqu’il monte peu chargé (le contrepoids entraînant la cabine). Restés dans l’ombre jusqu’à la flambée des coûts énergétiques, ces équipements se raccordent aux systèmes de commandes des ascenseurs, et sont en général installés lors de programmes de rénovation dans des bâtiments recevant du public (centres commerciaux, gares et aéroports, hôpitaux, sites culturels ou administratifs…).
Un surplus d’énergie accumulé puis redistribué
Chaque course d’un ascenseur entraîne accélération et décélération, dans des proportions d’autant plus grandes qu’il y a d’étages et que les cabines sont chargées.
La récupération d’énergie optimale concerne:
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La propulsion puis le freinage, en particulier dans le sens ascendant, dégage un surplus d’énergie récupéré et stocké dans le boîtier récupérateur, qui le renvoie ensuite vers le système électrique du bâtiment. Il est ainsi possible d’éclairer des parties communes, de faire fonctionner des ventilations, d’actionner des portes automatiques, grâce à cette électricité autoproduite par les ascenseurs.
Un retour sur investissement mesuré précisément
KONE fournit à ses clients une projection chiffrée non seulement sur les économies engendrées, à l’échelle d’années ou d’une décennie, mais aussi sur la baisse des kilowatts-heure consommés, sur la réduction de la facture d’électricité, sur la diminution des émissions de gaz à effet de serre… Autant de facteurs qui assurent un retour sur investissement optimal.
